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Le blog nous offre l’opportunité de partager ensemble des techniques ou astuces pour mieux vivre au quotidien. Vous allez pouvoir retrouver des informations essentielles sur le sujet prioritaire du bien-être, en particulier sur la psychologie, la physiologie, le sommeil, la nutrition saine, l’exercice physique sur-mesure, mais aussi quelques secrets pour devenir acteur de votre propre vie.

Mangez mieux pour vivre mieux

Le respect de votre corps commence par l’alimentation. On sait qu’aujourd’hui il devient de plus en plus difficile de manger sain et équilibré, mais il est important de continuer à essayer de s’améliorer dans cette voie-là. En effet, un corps en parfait état de santé passe bien souvent déjà par une alimentation saine.

J’entends par là absolument aucune privation, dès lors qu’une façon plus adaptée de se nourrir est établie dans le respect de nos véritables besoins. En le respectant naturellement, votre corps vous le rendra avec plus d’énergie et donc des émotions plus positives.

L’épigénétique et les secrets de la vie

Dans le monde du vivant, chaque espèce s’exprime selon des caractéristiques spécifiques révélées par son patrimoine génétique inclus dans les chromosomes qui se transmettent de génération en génération sur un mode défini par les divisions cellulaires. Cependant, chaque individu présente, dès la naissance, des caractéristiques morphologiques, de taille, de corpulence par exemple, mais aussi métaboliques alors que le patrimoine génétique est le même.

L’épigénétique, la référence cellulaire

Cette différenciation repose sur l’épigénétique et conditionne dès la conception, le devenir potentiel de chaque individu. En effet, l’épigénétique correspond à l’ensemble des facteurs environnementaux pouvant modifier l’expression des gènes et va ainsi aboutir aux modifications que nous percevons chez chacune et chacun d’entre nous. Cependant ces spécificités n’altèrent pas la séquence d’ADN, sont transmises lors des divisions cellulaires et sont réversibles. D’où l’importance de nos modes de vie car ce sont eux qui, en définitive, conditionnent le plus notre santé. Sachant que la véritable définition de la santé, établie en 1946 par l’Organisation mondiale de la santé et si peu connue du grand public correspond à : « un état de complet bien-être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». La santé, ainsi prise en compte dans sa globalité, est associée à la notion essentielle de bien-être.

La naissance et la transmission des comportements

Chaque nourrisson, le jour de sa naissance, à travers les milliards de cellules qui le constituent représente donc déjà l’expression d’un héritage génétique et, surtout, épigénétique qui va conditionner, en l’état, son devenir. A travers son mode de vie, ses différentes expériences, l’environnement dont il peut bénéficier (alimentation, pollutions, stress), ses propres cellules vont évoluer de façon spécifique et témoigner d’un impact positif ou négatif sur la qualité de leur métabolisme directement lié à l’expression des gènes qui les constituent.

L’épigénétique s’exprime au niveau chromosomique par des marques biochimiques induites par des enzymes touchant directement l’ADN des gènes ou les protéines qui le structurent à travers certains processus dont la méthylation de l’ADN en est la principale responsable.

Le comportement animal au diapason de l’épigénétique

Dans le règne animal, quelques exemples sont particulièrement frappants.

Chez les abeilles, les larves ont toutes le même patrimoine génétique. Pour autant, toutes ne deviennent pas reines. Il s’avère que les ouvrières sont nourries avec du miel tandis que celles choisies pour devenir reines reçoivent de la gelée royale. Cette différence d’alimentation entraine la méthylation de certaines parties d’ADN et aboutissent à la transformation de l’expression larvaire.

Chez les souris, le gène agouti détermine la couleur du pelage variant du brun au jaune. Chez les souris au pelage brun, l’épigénétique aboutit à l’extinction de ce gène. Tandis que chez celles au pelage jaune, le gène continue à s’exprimer et induit simultanément une sensibilité à l’obésité, au diabète et à certains cancers.

Chez les rats, le léchage de la mère induit chez les nourrissons un comportement nettement plus calme. Cette pratique augmente l’activité d’un gène, appelé NRC31, contrôlant la sécrétion de cortisol, hormone du stress. Il s’avère que les rats n’ayant pas reçu suffisamment d’affection à travers la pratique du léchage présentent un gène NRC31 défectueux dans son expression au niveau des neurones présents dans une région spécifique du cerveau appelée hippocampe, aboutissant ainsi à un surdosage global du cortisol dans tout l’organisme avec, pour corollaire, un état de stress constant indépendant des conditions de vie.

Chez les tortues Luth, la différenciation sexuelle est dépendante de la température d’incubation des œufs : en dessous de 29°C, les gonades se différencient en testicules, au-delà de 30°C, ce sont les caractères féminins qui s’expriment.

Le comportement humain, l’épigénétique et la santé

Dans l’espèce humaine, les comportements sont particulièrement responsables de l’apparition de maladies, à travers les modifications épigénétique ainsi induites. En effet, il y a un siècle, les principales causes de décès des populations étaient représentées par les infections car les antibiotiques n’existaient pas encore et les vaccins commençaient tout juste à apparaitre. Un siècle plus tard, les progrès de la médecine aidant, les principales causes de décès sont représentées aujourd’hui par les maladies cardio-vasculaires, l’obésité, le diabète, le cancer, les maladies inflammatoires chroniques et les maladies neuro-dégénératives (Alzheimer, Parkinson, sclérosa latérale amyotrophique…). L’ensemble de ces pathologies est regroupé sous le terme de maladies non transmissibles (MNT). En d’autres termes, maladies liées au mode de vie. Les mécanismes épigénétiques concernent, en effet, de nombreux évènements cellulaires tels que la mitose (division), la différenciation, (pour créer les différents tissus organiques), la mobilité et la durée de vie. Leur altération accélère la transformation des cellules saines en cellules cancéreuses. Nous savons maintenant que l’inhibition des gènes suppresseurs de tumeurs ou l’activation des gènes oncogènes (favorisant l’apparition de cancers) sont directement liés à des mécanismes épigénétiques déficients.

Cette connaissance essentielle nous impose une prise de conscience accompagnée d’une réévaluation salutaire avec, nécessairement, une réorganisation de nos priorités physiologiques et psychologiques. Avec aussi, à la clé, une refonte prioritaire de nos réflexes de vie où s’accumulent habituellement des comportements inféodés à la société de consommation et clairement contraires à nos propres besoins métaboliques.

Des solutions existent au premier rang duquel figurent une alimentation saine et équilibrée, une activité physique suffisante, la gestion du stress et la lutte contre les pollutions de toute nature.

Cela nécessite évidemment une décision personnelle forte concernant nos perspectives d’évolution. Cette conduite du changement ne peut être accueillie de façon attractive qu’avec, simultanément, l’expression de notre motivation à adhérer au respect naturel du fonctionnement de notre esprit et de notre corps.

Les Virtuoses de la Vie

À mesure que ce cheminement progresse, se découvrent également d’autres horizons d’épanouissement pour créer une dynamique d’énergies positives d’autant plus opérantes. Ce cercle vertueux est à l’origine de cet art de mieux-vivre que je dispense au sein de l’Académie des Virtuoses de la Vie et que chacune et chacun d’entre vous peut acquérir. Pour nous permettre de découvrir les fondations d’un équilibre optimal de bien-être et bâtir une vie épanouie où nous devenons les créatrices et les créateurs de notre bonheur.

Cette démarche holistique est en totale résonance avec la santé planétaire qui, à son tour, reflète la lumière de chaque cœur palpitant au gré de ces valeurs de vie capitales.

L’Illusion de la Personnalité

L’origine de la personnalité

La naissance crée les balbutiements de la personnalité autour des réflexes issus de l’entourage émotionnel du nourrisson et de son environnement de vie.

Compte-tenu de cet état de totale dépendance liée à l’immaturité neurologique, il va mettre en place des systèmes de communication permettant de se sécuriser.

Le premier d’entre eux est de pouvoir reconnaitre sa mère.

Les 5 sens sont sollicités pour développer cette réassurance : la vision, l’ouïe, l’odorat, la gustation et le toucher.

Il distingue le visage de sa mère lors de la tétée, la sent et la « goûte » à ce moment-là, reconnait sa voix à laquelle il s’est habitué durant la vie intra-utérine, bien avant de la toucher.

Et surtout, la résonance émotionnelle entre eux va signer leur reconnaissance.

La question qui se pose à lui est de savoir comment la garder.

Le nouveau-né développe une relation fusionnelle avec sa mère.

Et réciproquement…

Mais cela ne suffit pas à en garantir la pérennité.

Au décours de sa croissance, il va intégrer la nécessité de conserver auprès de lui ses parents tout-puissants.

Sachant cela, il développe la capacité d’imitation autour de ce qu’il perçoit comme étant des signaux référents.

Jusqu’à 4 ans environ, le canal émotionnel est prioritaire.

Puis, toujours par imitation, le canal verbal va devenir prépondérant.

Ceci dit, l’identification aux modèles parentaux reste LA posture privilégiée. Nous avons vu, dans un article antérieur spécifiquement dédié à ce sujet, comment l’épigénétique reflétant l’impact de nos modes de vie sur l’expression de nos gènes pouvait induire des pensées et des comportements spécifiques.

Construire sa personnalité en toute sécurité

De la même façon que les animaux développent l’apprentissage de la vie (et surtout de la survie) par l’enseignement des techniques de chasse, les humains construisent la structure psychique de leur progéniture par la transmission de leurs valeurs.

Cet enfant va intégrer naturellement ces références comme étant le centre de son équilibre de vie.

Il va construire son espace de développement autour de l’interprétation, à ses yeux, la plus fidèle possible de cet enseignement.

Avec la crainte de décevoir…

Parce qu’il s’est construit sur la notion d’amour conditionnel.

Cet amour qu’il sait essentiel à son expansion et si incertain dans sa continuité.

Cela parait toujours très étonnant de considérer qu’un enfant n’a pas de certitude dans la permanence de cet amour de la part de ses parents.

En voici un exemple frappant.

Faisons un sondage à la sortie des écoles maternelles, version petite section .

Et posons à toutes et à tous cette même question, avec la réflexe de la construction des phrases que nous adoptons instinctivement lorsque nous nous adressons à de jeunes enfants : « Est-ce que ta maman, elle t’aime ? »

Que pensez-vous que vous obtiendrez comme réponse, à 100% ?

« OUI ». A l’unanimité.

Posons, ensuite, cette deuxième question : «  Pourquoi elle t’aime, ta maman ? »

D’après vous, quelle réponse ?

En règle générale, les parents répondent : « Parce que c’est ma maman »

Mais cela correspond à une réponse d’adulte…

Les enfants, dans leur immense majorité, vont dire ceci, avec un sourire empli de candeur et d’innocence : « Parce que je suis gentil ».

C’est parfaitement craquant !

Mais, c’est surtout pathétique…

De considérer à quel point, cet amour conditionnel est ancré dans l’esprit de nos petits chérubins.

« Je suis gentil, tu es contente. Tu es contente DONC tu m’aimes »

D’ailleurs, avez-vous déjà posé la question à votre jeune enfant lorsqu’il vient de se faire disputer ?

Vous risqueriez d’être vraiment surpris…

En effet, il est évident pour lui de penser que : «  mon papa et ma maman ne m’aiment pas parce qu’ils m’ont crié ».

Cet amour conditionnel fait le lit de toutes les frayeurs des enfants et détermine pour eux la nécessité de tout faire pour « faire plaisir ».

Cela devient un objectif prioritaire : « faire plaisir à tout prix »

Instinctivement, la meilleure façon de faire est de toujours être irréprochable.

Autant vis-à-vis des parents que dans la fratrie et à l’école.

Avec, à la clé, la perception que rien n’est jamais acquis.

Donc qu’un effort permanent est nécessaire pour garder le leadership.

Le poison de la construction de la personnalité : la peur de ne pas être aimé

Le mode de fonctionnement qui en découle afin de pouvoir toujours faire plaisir est d’ accroître la capacité à devoir toujours être parfait.

Ce côté perfectionniste se met en place insidieusement et colle à la peau plus efficacement que n’importe quelle injonction verbale répétée en boucle.

Mais cette expression invisible d’impératif existentiel va entraîner de lourds désordres dans la construction de l’estime de soi.

Avez-vous déjà côtoyé un perfectionniste ?

Un perfectionniste autre que vous-même, si possible : il est plus facile de se rendre compte de l’impact lorsque l’on est à distance. En effet, le perfectionnisme est un véritable handicap social en ce sens qu’il crée en permanence un ressenti d’insécurité à travers des ruminations incessantes autour de la nécessité de faire toujours mieux. D’où une insatisfaction chronique et une croyance selon laquelle ce qui est réalisé reste insuffisant. Renvoyant ainsi chaque individu à sa propre vacuité existentielle : une situation particulièrement  anxiogène pour tous les esprits en recherche de l’approbation d’autrui.

Que constatez-vous ?

Une situation d’insatisfaction chronique à ne pas avoir atteint les objectifs, doublée d’une peur profondément ancrée à se sentir décevant dans le regard de l’Autre.

Cette construction impensable chez l’enfant va continuer à se développer au fil du temps.

Pour s ‘exprimer toujours avec plus de force à l’âge adulte.

Et se retrouver dans toutes les situations de vie que nous allons rejouer conformément à nos réflexes établis dans l’enfance.

Par exemple, dans le domaine professionnel face à des supérieurs hiérarchiques ou des collègues (selon nos modes privilégiés visant nos parents ou nos frères et soeurs).

Mais surtout dans le domaine amoureux où la nécessité de faire plaisir va reprendre sa priorité originelle….

Pour être rassuré dans le fait d’être aimé !

Brené Brown nous livre une critique acerbe et parfaitement réaliste du perfectionnisme dans son livre « La grâce de l’imperfection », Beliveau Editeur 2018 : « Le perfectionnisme est un mouvement défensif. Il fait croire qu’en agissant parfaitement et en ayant l’air parfait, on peut minimiser ou éviter la souffrance du reproche, du jugement et de la honte. C’est un bouclier de vingt tonnes qu’on trimballe avec soi, convaincu qu’il protège, alors qu’en réalité, il empêche de se montrer. Le perfectionnisme n’est pas la clé du succès. Au contraire, il freine l’accomplissement et reste corrélé à la dépression, l’anxiété, la toxicomanie, la paralysie affective et les occasions manquées. Pour se libérer du perfectionnisme, il faut entamer un long parcours qui mène de « Que vont penser les gens ? » à « Je suffis ». Pour affirmer sa vérité, la vérité de son histoire, de ses croyances et de la nature imparfaite de sa vie, il faut être capable de se donner un répit et d’apprécier la beauté de ses propres fêlures. D’être plus bienveillant et plus gentil envers soi-même et envers autrui. De se parler à soi-même comme à quelqu’un qu’on aime ».

Il est toujours surprenant de constater la précision avec laquelle l’esprit construit le présent en souvenir du passé, des croyances et des conditionnements invisibles.

Réussir la construction de sa personnalité

Il est donc essentiel de pouvoir transmettre une subtile éducation à nos enfants avec laquelle ils vont grandir, se développer et apprendre à s’envoler. Dans la continuité naturelle du principe fondateur concernant la seule fonction d’un parent : « Apprendre à son enfant à se passer de lui » et en résonance permanente avec l’amour inconditionnel, inaugural et intemporel.

Devenez, vous aussi, les artisans-créateurs de cet art de mieux-vivre en nous rejoignant au sein de la communauté des Virtuoses de la Vie !

Optimisez vos talents

Chaque personne possède ses propres caractéristiques et compétences. Chaque personne est capable de donner le meilleur d’elle-même pour réaliser une tâche ou une passion.

Ce que nous allons mettre en place, c’est une méthode totalement adaptée pour trouver ce qui vous anime et vous donne envie au quotidien de vous surpasser. Les articles du blog peuvent vous apporter quelques pistes de réflexion pour vous aider à identifier ce qui vous anime passionnément.

Vous pouvez directement découvrir ma méthode exclusive dans mon « Guide de renaissance pour un monde à l’agonie »

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